Il y a du sang Une ombre s’éclipse, arme a la main Taché est le manteau blanc, Elle s’en va la poète assassin
Jeune femme déçue, énervée et meurtrière Déchirée en son cœur Malgré toutes ses prières Elle n’a pus empêcher se malheur
Voir sa propre main s’abattre dans le dos du jeune homme Lui fendre la chair, l’entendre hurler L’heure où sa mort sonne La poète n’a pus s’empêcher de le faire trépasser
Et pour tant il n’y est pour rien Mise à part qu’il a dit non Pipillon le sais bien Mais elle a ses raisons
De le vouloir gisant Dans cette neige souillé Plutôt que vivant Dans un monde où elle serait resté
Elle pris donc son couteau Et lui fit goûter la lame Pleurant de lui lacérer le dos Pour chacune de ses larmes