Besoin de sens. Censé coexister Pour pouvoir vivre. Délaisser sa vie au gré du livre Qui décrit les vérités Sur l’âme déjà morte dans la semence. Crois-tu tes pensées tiennent ? toi en quête de sens Sans réellement exister. Tant d’année dans la réalité Sans réfuter ces notions notoires sur ce qu’est l’être Qui t’habite et tombe du ciel vers tes abysse. Crois-tu habillement être comme le hêtre ? Lui surmonté de sagesse, lui qui enlise Ses abîmes, lui n’étant pourtant dépourvut de supplices, Lui qui vit toute sa lignée décimée. Esclavage à l'eau de rose. Eau morose, argument en prose D’une doctrine, noyée par le temps, dans un mirage menant A la menticide qui conduit à l'écervellement Construit sur les bases de l'émerveillement Du clivage brutal arborer Avec fierté mais sans morale Dépourvut de toute beauté. Sombrer dans l'objectivité Sans songer à la moralité Celle-là même prôner Sur la réalité Qui paraissait soudain erroné Quand on s'est surpris Étant assis dans ce train, Menant si loin de l'amour criblé de sursis Qui ensuite suscite des supplices, tu subis, Tu mendies des morceaux de délices. Tu dénis ta démence mais elle reste est inassouvie.