Avec tant d’avatars, que l’An a suscités Présumant un chaos, assassin d’espérances Marquez un temps d’arrêt, braquez vos assurances Imbus de foi de voir vos vœux ressuscités.
Ainsi, j’y joins mes mots, aux nerfs illimités Scandant tout haut leurs airs qu’importent nos croyances Pour brandir mes souhaits, de belles performances D’une santé d’airain, de bonheurs crédités.
Je pense aux démunis survivant tous les jours Aux malades souffrants, aux boiteux sans séjours Aux victimes des Lois, aux captifs des Systèmes…
Aussi je rends hommage, aux Parents souverains Aux vaillants Médecins qui bravent les extrêmes D’un monde où l’on ne voit, hélas que ses chagrins…
(Cela pouvait être bien Pire alors regarde derrière toi)