Un archange ineffable esquissa sur ma rive L’aurore d’un amour au reflet satiné. Troublante par sa grâce en son art raffiné Devint-elle égérie à mon encre affective ?
De l’altruisme incarné, sur sobre perspective, Sublime une splendeur dont je suis fasciné Quand sa subtilité, d’un soupçon chagriné, Suscite le respect d’une lutte émotive...
Chaviré dans son ô, j’ai gagé mon égard, Pour honorer l’ardeur de notre accord sans fard, Béni du Firmament sur un champ de tendresse.
Ô Muse, ô vertueuse au souffle généreux, Je cède finement au feu de ta noblesse, Déifiant l’alto d’un futur bienheureux.