Chaque jour s’estompant enlumine mon âme Quand de ta pureté, je puise tant d’ardeur Je respire le musc d’un vertige Ô splendeur Ma ferveur t’est acquise en guise d’oriflamme.
L’Horloge des émois papillote et te clame Ineffable sylphide à l’exquise candeur Je me perds dans tes yeux, troublante profondeur Quand des désirs muets, vibre l’épithalame…
U ne douce assonance honore ta beauté Dans la nuit qui s’accroît, sublimant l’aquarelle De ton charmant fasciés, au-delà du firmament.
S i je m’ancre en ta grâce, est-ce par féauté ? Alors que tu deviens, la Muse intemporelle Et j’entrevois l’écho d’un subtil agrément…