Là-haut, perché sur la pyramide A l’antichambre d’un monde où tes Lois président Sobrement de ses clefs, mon cœur avide de ton sang hybride Pourchasse ton ombre jusqu’aux confins des Cieux et du Vide. La splendeur que tu exhales sise sur le toit de Ra me Téléguide Et de ton odeur, je m’enivre pleinement sous l’Apside. Noyé dans les avalanches de tes rimes, je trucide D’emblée, Ô Reine, tes maux avides Insole-moi de tes rais Dorés sur mon corps Et délie tes rêves Royaux Elfe Ilots Noce L’Unique Elue de Chœur Sublime Clef jalousée Belle Lyre prisée Eden Onde Peau Ange Talc Rive Eaux
Pour Toi…
(Poème comportant un acrostiche et en forme de calligramme Si le texte est au moins centré)