Le crissement de pas, en prestance rebelle, A percé d’un revers, la voix d’un doux quatrain Tissé fébrilement, à l’or d’un petit grain ; En témoin du blizzard qui, dûment, le constelle.
Les cieux ont sangloté d’une belle dentelle, La déveine d’un sort qui distend, en refrain Les échos fourvoyés d’un cordon souverain Prisonnier d’antan, des heurts en kyrielle…
Les rais évanescents, repeignant le printemps, Sacrent, par leur reflet, l’ultime vœu du Temps Désormais consentant à ce nœud infaillible.
L’aphorisme des Saints, sur le plus haut degré, Juge sacraliser cet Amour si sensible ; D’angéliques versets, fredonnant d’un bon gré…