Le cri dense de cymbale Du soleil étale Plombe très fort les rivages
De Tipaza qui s’emballe De façon fatale Comme un soleilleux mirage
Et son ressenti spécial Très paradoxal D’un temps figé dans l’ancrage
* Hommage d’Alain Vircondelet à Albert Camus fils d’Ager, Pluriel-Fayard, 2010, p.23 : Camus à Tipaza et « le cri dense de cymbale du soleil, quand il plombe le paysage et immobilise le temps »