Frondaisons d’automne enflammées jaunes par l’insurrection Arbres mordorés par les touches de la grande mortification Végétaux dépouillés vifs des dorures de la sanctification Vous portez bien haut les couleurs de l’anagogique résurrection
Salaisons d’automne offertes dans les trames de la participation Exhalaisons à l’aune des enjambements de l’exaltation Contemplations arrachées à la salve de l’aspiration Vous portez bien haut les senteurs de l’extatique résurrection
Beauté florale des seins endiamantés dans l’insurrection Sensualité automnale de la f’âme enchantée sans la mortification Spiritualité estivale de l’esprit argenté par la sanctification Vous portez très haut les ardeurs de la canonique résurrection
C’est toi que j’invoque espoir automnal au sein de la méditation C’est toi que je choque désespoir hivernal au jour de la surrection C’est toi que j’évoque terroir séminal à l’heure de la conjonction Pour sceller bien haut les fleurs de la cyclique résurrection