Le voile se lève déchirant l'inconscient, Petit être de faiblesse qui lentement se détend. Un soupire rayonnant d'amour et de promesses, D’une nuit indolore au pays des maitresses.
Sadique rayons messagers de souffrances, Céleste insufflants d'une terrestre violence, Où le coeur tel la mer se déchaine furieusement En une vive douleur nous rongeant constamment.
Combat de esprit et non pas de matière, S'engageant avec rage dans un duel solitaire. Dolant bouclier protecteur de mon âme, Dont le seul assaillant se révèle être une femme,
Annihilant inlassable la vigeure de ma flamme, Je ne puis avancer tel une barque sans rames. Balloté impuissant devant peine et fureur, Déjà chancelant de larmes et de douleurs. Ses yeux, sur moi se posant ranime mon espoir, Sainte lumiere transperçant mon cruel désespoir.
