Quand elle apparut, belle et fragile, Il fut séduit par la grâce de ses yeux. C’était au printemps, un de ces beaux jours d’avril Où l’amour, dans les cœurs, allume ses feux.
Le garçon s’approcha de la princesse. Son parfum de femme bientôt le grisa. Tendrement, il embrassa la déesse, Une beauté divine, nommée Sandra.
Un sourire d’elle et tout devint Eden. Le prince charmant rêva de douces nuits, D’un carrosse blanc tiré par des rennes, D’une odyssée sur les chemins de la vie.
Les yeux de la nymphe semblaient des diamants, Regard profond qui attisent les désirs, Doux joyaux qui déchaînent les sentiments, Témoins vivants de l’amour et des plaisirs.
Sa peau claire sentait bon la jeunesse, Telle une rose qui naît dans le jardin. Les baisers se mêlèrent aux caresses, Instants sacrés à vivre jusqu’au matin.
C’était un de ces beaux jours d’avril Quand il croisa le doux regard de Sandra. Elle lui apparut, belle et fragile Et son doux parfum de femme le grisa