C’est un mas retiré sur un bout de colline, Que chauffe doucement le soleil provençal, C’est un coin de ciel bleu, léché par le mistral, Où chante simplement le bonheur qu’on devine.
Le soir n’y dort jamais et la lune dessine, De ses pâles rayons un amour centennal Sur le visage heureux des convives. – Le val, Jamais ne désemplit quand la nuit se termine.
Là bas vole un parfum de fête et d’insouciance, L’hydromel coule à flot et donne de l’ambiance A la nuit. -(Ce soir là je m’y suis oublié.)-
Et depuis, chaque fois, mon cœur léger s’envole, En papillon de nuit dans cette fête folle, Vers ce lieu dans lequel je me suis marié.