Je marchais au hasard des pavés de la ville Mes pas allaient vers toi, tout comme mes pensées Mon esprit ressassait, ce qui semblait futile à l’époque. - Aujourd'hui tes paroles sensées
Chaque mètre avalé, battement de seconde Me rapprochaient de toi, je suis heureux, vois-tu ? J'ai le cœur gros mais feins à la face du monde L'absence qui me ronge et le mal qui me tue
Je me suis retrouvé, marchant au cimetière, Vers la tombe ou tu git, au milieu de l'allée Heureusement papa, tu n'est pas seul, grand mère T'accompagne en ce lieu, propice à l'azalée