Je te rêve en la flore de notre jardin, Déjà à l’œuvre par un doigté clandestin, Tu m’accordes un passage de ton destin. Comme un mouvement se fait grave un ce jardin !
Je te sens même en ce souci le cœur lointain, Relatif à une fugue au ton libertin, Tu réfléchis la valeur d’un thème certain. Comme un contretemps se fait grave en ce lointain !
Je te suis en cette pensée humble lien, Unique insensé d’un siècle puritain, Tu m’inspires par ton génie un hymne hautain. Comme un renversement se fait grave en ce lien !
Je te crée en cette immortelle un pauvre bien, Pourtant en ce temps ébauche d’un magicien, Tu composes le final d’un grand musicien. Comme un dénouement se fait grave en ce bien !