C’était son regard si humain Et ce souvenir lui ressemble Au jardin l’odeur du jasmin Triste soir le silence tremble Un cœur se lamente demain.
C’était son regard si heureux Ouvert à leur rencontre unique Au jardin le chant malheureux Embrasse un amour platonique Fausse l’ombre de l’amoureux.
C’était son regard si charmeur Lors il chante en sa voix virile Au matin un serment se meurt Sous le vent la flamme fébrile Loin du monde et de la rumeur.
C’était son regard si touchant Lueur de tendresse émerveille Au matin pourtant trébuchant Sur l’aveu la douleur s’éveille Faisant maître le ciel mouvant.
C’était son regard si lents cieux Dans ce hasard le mal l’accable Au jardin, au matin sous cieux Des faits l’histoire inextricable Des cris ce cœur lits sans cieux