Juillet clamant ses joyeux airs de flonflon, Nous fait valser aux lumières des lampions. Aout aux rayons d'or, plein d'insouciance, Nous conduit sur le chemin des vacances. Septembre voit le bel été s'en aller, De rouille attristé, commence à frissonner. L'été au souffle fiévreux, brûlant du vent, Enfile un tailleur frivole et florissant.