Je m’en veux d’avoir dissipé ton beau nuage, Je suis si heureuse de t’avoir côtoyé. Je m’en veux de pour toi avoir tant sangloté, Mais non pas d’avoir connu l’amour à mon âge.
Je t’aimerai toujours, jusqu’au jour du naufrage, D’un amour aussi doux que le chaud vent d’été. Je t’aimerai toujours, même l’infini passé, Car tu as été pour moi un merveilleux sage.
As-tu su lire dans mes yeux si malheureux? Penses-tu à moi quand tu dis que se sera mieux? Es-tu sûr d’avoir pris la bonne décision?
Tu as brisé mon cœur en me disant ceci : «Je crois que c’est mieux de rester de bons amis» Seul toi pourra, un jour, reboucher la cloison.