A l’ombre de ces érables Vous étiez tant désirable A l’ombre de ces feuillus Je vous ai convaincu Qu’il fallait continuer la route Mais votre cœur en déroute S’est refusé à tout entendement Allons ma mie Vous êtes toute ma vie Laissez vos inclinaisons Et fiez-vous à mon talon Il me dit sans artifice Que ce sera un feu d’artifice Continuons nos ébats Sans plus aucun débat Vous êtes en feu Soyons heureux Cessez votre courroux Et soyons fous Le temps passe si vite Allons vite Près de ce vieux chêne Pour que passion se déchaîne Il faut que jeunesse se passe Pour que vieillesse trépasse Dans les sapins verts Nous nous mettrons au vert.