Dans les vertes prairies Il y a de cela plusieurs décennies Vivait un peuple épris de liberté Ils avaient pour seule facétie Leur amour de la vie en tipis De vivre au grand air, chasser Pêcher pour se nourrir Attraper cet animal sauvage, le Mustang Hommes et bêtes se ressemblaient Tellement qu’ils ne faisaient plus qu’un Quand l’indien chevauchait les Mustangs Ils paissaient en paix Dans cet univers Que seul le mauvais temps contrariait Puis l’homme blanc et ses bâtons de feu Avides de terres Firent de cet univers un désert Les bisons disparurent Et comme « Géronimo » l’avait prédit La pollution, l’extermination À cause de la civilisation Mit un terme à cette beauté sauvage Verrons nous aussi la disparition De cette dernière espèce Où l’homme aura-t-il le sursaut?