En franchissant l’entrée De la porte miroir Pete et Stevens ne s’attendaient Pas à découvrir de l’autre côté Un monde magique mais étrange Comme ils avaient pu en rêver Du temps de leur adolescence Comment avaient-ils pu passer Dans ce monde enchanté Cette porte donnait dans le parc Où devant étaient plantés Des arbres et des rosiers C’était un bel après-midi d’été Le soleil se reflétait Dans ce cadre bucolique Simplement, une invite Et eux n’y avaient pas résisté Ils traversèrent En une seconde, ils tombèrent Dans une autre dimension Les arbres et les fleurs étaient géants Comment retraverser Pour passer de l’autre côté Rien n’indiquait à leurs yeux La porte sur leur monde Mais intrépides, ils préférèrent continuer Des collines,à perte de vue Où volaient toutes sortes de papillons Indiquant, que là, l’air y était pur Pas de trace, à première vue De civilisation C’était fascinant Et à la fois, effrayant Que leur réservait le destin?