Mais où es-tu troubadour Celui qui me berçait De ses doux chants d’amour L’été est passé Vers ton beau pays Tu es retourné Me laissant seule et transis Et, depuis, nul courrier N’est venu réchauffer Ce froid glacial, qui dans mon cœur S’est installé Que de belles aubades M’as-tu fait bénéficier Me lançant de langoureuses œillades Mais pour toi étais-ce « aimer » Ou n’était-ce que pur jeu Mon amour était si profond Qu’il en est blessé Nous avons été si heureux Reviens en ces lieux Mon cher troubadour Quand il est passion Ne peut s’éteindre l’amour.