Où sont les flonflons Et les violons De nos bals d’antan Qui résonnaient À nos oreilles Telles des merveilles Invitant à la joie La ducasse Qui se tenait sur la place De notre cité Et qui nous enthousiasmait À l’idée D’un tour de manège D’autos tamponneuses De chenilles Et de stands de toi Qui nous occupaient Et le soir venu Le bal du printemps Où nos cœurs Battaient la chamade À l’idée de la rencontre Romantique du prince charmant Sur son beau destrier blanc Atmosphère électrique L’a remplacée Mais pas forcément Pour le bien des enfants.