Où te caches-tu Toi l’inconnu Qui devrait par sa présence Ensoleiller mon ciel de vie. Les heures, les jours S’égrènent dans le sablier Les minutes font entendre Leur doux chant À l’horloge du temps, Pas un seul jour Où je ne rêve amour De l’instant où toi Par ta présence réchauffera mon cœur. Connaître enfin le bonheur Sur la vitre embuée Je trace un cœur Mais des initiales Seule la (les) mienne (s) apparaît (sent) Je ne suis pas femme fatale Je rêve de ce bonheur simple Où bientôt je conjuguerais Au présent, au futur, au passé simple Le verbe aimer.