Qu’il est doux en ce premier mai De se remémorer Ces folles envolées Que nous faisions enfants Accompagnés de nos parents Dans les bois environnants Ces AH! Que nous exprimions En découvrant les clochettes Qui ne levaient la tête À cause de cette pluie qui tombait Armé du parapluie Ou couvert d’un ciré Ce n’était que pure rigolade Qu’importait la pluie La joie d’être en famille Avait plus d’importance Que ce que nous dénichions Le plaisir partagé D’un bon moment de marche De clapoter dans les flaques Où est-ce temps béni Celui de l’enfance chérie.