Quand pour le grand voyage Tu auras déployé Tes grandes ailes Et, que de toi Je ne percevrais Plus que la lumière Tu existeras Toujours à travers mes poèmes Car tu auras su Faire battre mon cœur Tu m’auras appris Que l’on pouvait Autant s’aimer En étant si éloigné Tu m’as donné Par des mots Ce que bien peu Reçoivent par des gestes Dans leur vie Je t’en remercie.