Alors qu’à l’horizon montent les nuages. Les amoureux quittent le rivage. Les yeux pleins de cet amour profond. A l’horizon se teinte le ciel de noirs moutons.
A L’orée du bois, des senteurs de myrrhe se font sentir. Chevaux et chèvres qui paissaient se font remuant. Est-ce le ciel qui les perturbe ou sentent-ils l’orage. Au loin la mer fait entendre son mécontentement avec tapage.
Loin de la civilisation antique, les statues se dressent. Est-ce le temple d’Artémis ou d’Agamemnon au fond. L’acropole menace, des éclairs emplissent l’air et nous stressent. Les Dieux se seraient-ils ligués et voudraient-ils semer le déluge ?
Nos pas se pressent et s’activent, l’orage a éclaté. Fuyions loin de ce lieu si près du ciel amour. Main dans la main nous rejoignions l’hôtel d’Athènes. Ce fut une courte escapade, on fera mieux un autre jour.
Le chemin est escarpé. Mais habiles nous sommes. Nous sommes rendus près de notre home. Nous allons nous reposer et pouvoir nous rafraîchir. Demain nous visiterons l’orangerie et pourrons nous servir.