Combien d’épreuves il a fallu. Aujourd’hui j’essaye le lâcher prise. Ais-je été comprise. J’en avais tellement plein le C …
Toujours à pleurnicher sur mon sort. Avais-je particulièrement tort. Il fallait passer à autre chose. Il ne fallait pas rester dans mes chausses.
Toute pimpante, je m’en vais autre part. J’ai fait ma part de deuil, il est grand temps. Adieu larmes je m’en vais ailleurs avec le vent. Pour tout bagage, une brosse à dents.
J’ai laissé la maison de l’horreur ouverte. Quiconque se sent le cœur . Qu’il pénètre pour le labeur. Moi j’ai fini de pleurer, la plaie n’est plus ouverte.