Des draps blancs sur les meubles, tout semble vide, Cependant, sur un mur se profile une ombre, C'est un chat noir, pourtant il paraît livide La demeure est plongée dans la pénombre.
Il reste là, seul, dans ce silence si pesant, Personne ne songe à lui, il n'a plus de maîtres. Couché sur le vieux fauteuil, il attend Que la maison puisse renaître.
La lune éclaire son pelage noir, C'est un chat plongé dans le désespoir, Sur le grand drap blanc qui couvre le fauteuil, Un chat noir est en deuil.