Tout à glisser, les mots, les prières, les cris Les saisons et les aventures, En proie au même amour, et toujours plus meurtrie, Je n'ai pu changer ma nature.
L'ombre devient plus douce, et le ciel plus câlin, C'est l'heure du silence où fleurit la tendresse, Le coeur vibrant, je songe, à tes grands yeux de lins, Et la brise qui passe, a des parfums d'ivresse.
Tes yeux, tes sombres yeux, gardent seuls le pouvoir, Quand il est tant d'amours au monde, D'éveiller à la fois la détresse et l'espoir Dans mon âme, la plus profonde.