Rouler ,s'enrouler dans les grandes étendues d'herbes,et d Pour oublier le désordre des angles morts Des éternels désirs d'être, Et les rumeurs sourdes à porter sur nos épaules trop faible
Rire pour ne pas effondrer l'absence,t'aimer jusqu'à user Qui relie le souffle de mon àme au plaisir étourdissant Puis prendre ta main et marcher ,juste marcher sans un mot j De là ou tu me conduis...
Je ne lutterai pas, Chaque pas me rapprochera des étoiles