Passent les secondes, passent les arpèges du temps, Le monde se consume doucement, Et passent les secondes. Jamais peine plus douce que de te voir sourire Et tes yeux de pleurer, au-revoir silencieux.
Eloigne -toi et je sais ta démarche Eloigne -toi et je sais ta silhouette Les yeux fermés.
Tu me reviendras
Dans ce train, dans cette ville, Au coeur de cette foule, Tu marches vers moi paisiblement, Silencieusement tu me souris Et plus rien n'a d'importance.
L'attente est une paisible danse Danse paisible et silencieuse.