Quand le ciel et la mer se seront mélangés Que l’étoile d’un soir aura vaincu l’errance, Je te dirai sans doute où l’égarement commence Quand l’univers entier se sera embrasé.
Pour n’avoir jamais pu dominer ta souffrance Tu riras à la lune, tu riras à la nuit Dans l’éclatement brutal de ton âme meurtrie Tu t’élanceras encore vers un peu de jouvence.
Auras-tu le courage d’affronter la douleur D’éprouver à nouveau l’angoisse de ton cœur Là où ton âme encore brûle de liberté ?
Dans un souffle de vie qui meurt d’avoir trop ri Ecrase le néant, écrase l’infini N’attends plus à demain. Il faut te libérer !