« Passe, passe le temps Il n’y en a plus pour très longtemps » ;
tu tournes, vires et voles et tu danses en riant. Garde bien tes baisers au chaud dans ton brasier, fais nous frémir d’ivresse! Pousse, pousse à bout les soleils de nos nuits sans sommeil ...Tes paumes bouturent les roses des collines aux chaleurs de mes rêves . Appliqué, tu prépares les semis de notre été indien. Viens...viens t’évanouir aux murmures de mes reins...