Il suppose qu’elle est partie La joie qu’elle a donnée est finie, Il ne lui reste ni bonheur ni sagesse Seuls des souvenirs d’une enchanteresse. C’est inévitable qu’un poète désespère Et des larmes tombent par terre, Cela a été une grande folie D’essayer de maîtriser la poésie De capturer ces paroles et mélodies Qui ne sont qu’une étrange rêverie. Enfin il croît qu’il comprend Mais pendant qu’il regarde vers l’horizon La Muse recommence sa vieille chanson.