Lumière de nos pensées d’espoirs en leurs cycles Que ne se vide ce verre, sans un moment de joie Aux châteaux du Luxembourg, à la table des rois Permettant aux enfants, d’errer en une clique
Certaine font mûrir, les atours des femmes Comme un arbre fruitier, un diamant éternel Éclos de la vie, d’années stable et le tunnel De prisonniers affables, et, adeptes de drames
Suite chronologique et, temps qui passe Course folle et fraîche de couleurs et de teints Parfois fou d’éclat, ou, décors dédains Que nos yeux, juge d’extase, ne se lasse
Elle nourrie, unifie et s’enferme dans les jours Constituant une folie, page blanche de poète D’un portrait si clair, de belles silhouettes Que nos enfants admireront bien un jour