Toi, sensation importune et soudaine Découvre alors mon pauvre cœur si frêle O désarroi,à cette souffrance si vaine D’être si loin, o doux tourment de celle .
Vous, petit et nombreux, juges tant impartial Montre alors mon âme, sombre vestige D'une époque, d’un temps, de cette fable Ou passion est synonyme de vertige .
Elle, devenue alors femme si belle O douce lèvres, sombre fraicheur si brune Eclat d’éloge, o regard teint de prune Parfum si pur et mélancolie irréel .
Moi, ici lambeaux , sourire éphémère Antique souvenir des jours à paraitre Ou cet espoir de retrouver ma joie d’être Amène donc mon cœur, paradoxe amer