A l’approche si subtile de l’aurore, Un voile, sur cette âme s’étend encor Lisière de cette foret, de ce soir, Qui de vous ou de moi devrai-je croire.
Si belles paroles, si braves querelles, Que d’entrevoir encor et toujours si frêle, Cette vie, doux parcour ou sombre paysage, Berceau de cet être devenu si sage .
Egaré, à la vision de cette fable, Mon cœur s’éprend ,et donc , pour certains s’accable De volupté, douceur ou autres émotions Qui , sans peine , portent à mon cœur tant d’attention .