Par cette brise, cette douce nuit d’été Voici que mon pauvre cœur, encor et toujours Berce tourment dune envie tant désirée De s’abandonner à sa destinée, l’amour
Belle caresse et douce volupté Sont alors fruit et enfant de mon être Sans désir d’apparence ou de paraitre Autre que la surprenante vertu d’aimer
Serai-je fort orgueilleux de dire alors Que de cette amère sensation naisse encor La vision de ce vide, de ce mal inconnu Point éphémère et pourtant souvent ambigüe