Quel doux sentiment attriste encore mon cœur D’apercevoir aux couleurs pourpres, cette fleur Qui, aux profondes et obscurs mélancolies, Amène, à l’automne, mon âme meurtrie.
Serais-je alors, en ce jour, que lambeaux Ou , peut-être sombres vestiges et tombeaux, D’une joie, d’un doux plaisir tombé dans l’oubli, Où, sans elle, ce bonheur ne fut qu’utopie.