Tant de sentiments attristent, alors mon cœur, De n’être ce que je souhaite, en douceur. Si douce folie qui découvre, si frêle Ma vie, et cet amour de ne voir qu'elle.
Me voici, donc, si téméraire et futil De croire, qu’aujourd’hui, en cette prière, Aux sombres mélodies d’automne, d’idylle L’amour, en mon être, brise cette pierre .
Voici ce qui, depuis longtemps, berce mon âme De ne voir que douce et si belle femme, De ne découvrir, que douce hérésie, Simple songe et louange d’hypocrisie.
Et voici que l'hiver ,en moi, s’éprend D’amertume ou autres divertissements Et toutes mes nuits si éphémères, à blâmer, Montre que ce jour ne sera point le dernier.