A l’éveil, apothéose de mon âme Trésor soudain au sourire infâme Que d’entreprendre cette triste destinée Découvrant cette délicate nuit d’été .
Vision ambiguë de cet avenir flou De la douce nostalgie,digne d’un fou, Impétueux paradoxe , sombre nouvel, Qui jadis fut, bel attisement de mon zèle
Et Mon cœur serait alors si fort égaré Que de croire pareil calomnie et péché Amer sensation de devoir donc me taire Devant grand seigneur ou autre éphémère
Vil parodie, ou beau vers hypocrite Tapissent donc encor en moi pauvre gite Enfant d'une nausée douce et subtile Qui engendre , pour fin , ma triste idylle