Stelle, Ultimes Rives, Monuments En Sommeil Céleste, Aubes Heureuses Irisées, Etoiles Rouges, Soirs Des Etincelantes Comètes, Obscurs Lointains Imaginés En Rêve, Jardin Est Ce Royaume Incandescent Suspendu : Théâtre, Ombres, Nébuleuses, Navires, Opalescentes Mers, Laiteuses Iles Baroques Et Rares Tout Eblouissement !
SUR ce bref espace étroit MESsage, à quoi sers-tu, CArcan imposé à froid ? HIERS saturés des vertus D'Edifiants rappels d'antan COrrigent mes vers présents. LIERre enserrant l'instant, J'Ecarte bis après ans. CRISsement d'encre sur feuille. TON exigence me lie (NOMbreux sont point tes accueils !). LIgnes où je m'ensevelis BERcent mes mots pas perdus : TEnacité est ma proie.
C'est SUR le tranquille des soirs Avec MES armes de lecture Notes, CAHIERS, vieux reposoir, - Manie D'ECOLIER qui perdure - Que J'ECRIS ma littérature Et TON soutien, ô verre à boire, Au NOM de l'ivresse immature Est LIBERTE pour mes histoires.
SUR MES pages et avec passion, CAHIERS D'ECOLIER aux ratures, J'ECRIS TON NOM Belle Aventure LIBERTE de l'Inspiration
SUR MES CAHIERS D'ECOLIER J'ECRIS TON NOM LIBERTE (Paul Éluard)