L’amour s’est exhalé du souffle de ta voix Et, comme un papillon que lentement balance Une brise légère où diaphane il tournoie, Est allé se poser sur mon cœur en vacance.
Or, comme un papillon qui lentement balance Ses ailes frémissantes où luit un arc-en-ciel, Lentement a battu au son de ta cadence Mon cœur illuminé d’un éclat de soleil.
Car la brise légère où diaphane tournoie Ta parole envolée dans le troublant silence A porté jusqu’à moi la mystérieuse essence De l’amour exhalé au souffle de ta voix.