Depuis qu’il est sur terre, faible créature, l’Homme cherche à percer les secrets de Nature et, de l’immensité au-dessus de sa tête, en trouver l’origine est l’objet de sa quête.
Telle Salomé ôtant un à un les sept voiles dissipant chaque fois un peu plus son mystère, la profondeur des cieux peu à peu se dévoile pour nous mener au cœur du noyau de l’affaire.
Or ce noyau lointain toujours se cache encore tout en nous découvrant des mondes inconnus, galaxies nébuleuses astres aux confins des nues conduisant vers toujours plus de célestes corps.
Plus il se livre à nous que le plus se dérobe à l’œil inquisiteur de nos Grands Télescopes l’univers insondable aux infinis tréfonds n’ouvrant continûment que des éthers sans fond
Car derrière un décor un autre alors se dresse pour nous représenter d’autres rideaux sans cesse sans que jamais la scène initiale se montre qui nous révélerait la genèse du monde.
Et l’Homme tourne au tour du géant mouvement de ce monde éternel qui n’aura pas de fin essayant de comprendre Qui Pourquoi Comment jusqu’à ce que sa voix disparaisse au lointain.