Toujours les mêmes discours Dans ces instants un peu courts Profitons de ce temps Pour écourter les moments De parole un peu lourdes D’appels aux secours Par des regards larmoyants Et des caresses insistantes
Ce ressassement dure depuis trop longtemps Et a tendance a nous étouffer de temps en temps J’ai bien peur que l’on n’est plus rien ce dire Et ces carences on pris l’habitude de s’agrandir Tes lèvres bougent mais reste fermées Pourtant tu ne cesse de les humecter Y a t-il des mots que tu me caches Ou des sentiments que tu gâches
Je ne comprends pas pourquoi tu es comme çà A laisser traîner des histoires comme çà Moi je n’es pas la force de les arrêter Car mon cœur y est accroché Mais toi, qui me montre le contraire Rien ne pourrait te déplaire a le faire
De toutes les manières On ne peut faire souffrir Que les personnes qui nous aimes Et tu as la manière La moins pire de le faire Se donné tout entière Puits tout retiré Ton corps ta peau et ton odeur Sauf ton image et le son de ta voix N’en parlons plus aussi longtemps Par des contacts un peut plus courts et moins fréquents