Les oiseaux du paradis À jamais emportent ces âmes d'ici Les anges gardiens À jamais perdent un bien
Trop de travail pour les messagers Plus assez de personnes sur qui veiller Embouteillage entre ciel et enfer Trop de soldats aujourd'hui morts à la guerre Leur corps encore baignant Une marre devenue mer de sang
Après ce massacre troublant Trouver le gagnant, le perdant Tous perdons à ce jeu dévastateur La vie, un proche, un avenir prometteur
Avouons-le c'est con Manège d'auto-destruction Heureux que lorsqu'il fini Mais la peine ne peut s'effacer Même ici...