Toi l’ancien matelot, Amoureux du grand large, esclave, Sur le quai de l’oubli résonne ton sanglot : Veux-tu ressembler à l’épave Et périr sous le flot ?
Prends ma main, camarade, Luttons contre le mauvais sort Qui laisse des marins échoués dans la rade. Restons unis tout comme à bord, Puis, quel que soit ton grade,