Nous avons traversé les frontières de l'univers en voyageant à travers mille mondes sans jamais cuellir une larme sur le visage d'une femme.
Nous avons cueilli des fleurs de vie sans jamais nous'arrêter à chercher la rue ou la porte d'entrée au coin des rues sculptée dans une aube décolorée dessiné sur les murs des cieux du dernier des peintres.
Nous sommes parties dans le feu du mois de mai français pour construire des barricades pour inventer des images polychromes de mots pour écouter le rugissement de mille locomotives pénétrer dans les carrés, et dans le rues se propager à la campagne et... disparaître dans un temps immobile.