Nébuleuses de mes actes Aux confins des amours J’entreprends un langage Aux rythmes des tambours
En tout temps, lieux et jours S’expriment les rimeurs musicaux troubadours. Les clowns sont sur la scène d’une piste chapiteau ; Regards aimables aux pupilles des stigmates. Les chœurs désuets des nostalgies lointaines Ont pour thème une errance horizon D’obstacles verticaux se dressant, ombres spectres, Comme s’abaissent les rideaux. L’Alchimie mène la transe : tout le public danse, Sursaute, virevolte ; ses soucis sont moins denses ! La flûte traversière résonne d’une joyeuse trille. Retour des hirondelles ; on s’aime dans les labours. Les cadences ont leurs pas depuis l’aube berceau ; Grelots ; hochets ; osselets ; cerceaux ; Musiciens baladins, bleus des brumes aux matins S’évanouissent tel le Rêve argentant les chemins. Le luth veloute sa harpe des déserts destinés, Solitude créatrice en ses lignes mélodiques Qui entonne les lendemains, soulignant ses refrains.
Nébuleuse de mes actes Aux confins des amours J’entreprends un langage Aux rythmes des tambours