Las de l’ennui pervers où ton corps reposait, Vexé par la paresse que l’on t’infligeait, Privé d’admirer dans l’aube ton réservoir (Que tu te plaisais à torturer jusqu'au soir),
Refusant plus longtemps d’exténuer ton palais De goûts trop éloignés d’un cognac au cigare, Chasseur infatigable et rusé d’humours noirs Tu repars ; ferrer les étoiles dans la paix.
Rien, ni les dialogues pompeux d’un créateur Ni l’attitude révoltante des crétins Ne t’empêcheront d’être en avance sur l’heure Où tu viendras détacher ta barque demain.